Parcours artistique



 

Isabelle Augé est née à Paris en 1962 dans une famille d’artistes, elle poursuit ce fil à l’école des Beaux-Arts de Rennes. 

Pendant ces années, 1980/90, elle étudie l’histoire, la géographie, la psychologie, s’intéresse aussi à la philosophie tout en travaillant en parallèle. Son goût du monde  l’embarque pour de grands voyages en Europe, Afrique, États-Unis, Chine. 

Nourrit de ces expériences, la peinture revient en 2000 par évidence. 
 
De 2001 à 2010, la Galerie Archétype et La Galerie DDG à Paris l’exposent parmi leurs artistes permanents.  
De ces années, naît une collection d’estampes réalisée à partir de ses aquarelles. Les tirages seront numérotés et signés à partir de l'année 2018. C'est un travail qui nous relie à l’atmosphère de la ville, distribué aujourd’hui par quelques bouquinistes, libraires et au Musée de la Poste. 
 
De 2009 à 2011, P.Vuillard l’expose pendant l’ouverture de sa Galerie à Berlin. Il choisit ses premières peintures abstraites. 
En 2010, la ville de Paris lui accorde un atelier qui devient une base pour développer un travail de recherche au plus près de son intuition.
De 2014 à 2018, la Galerie « Expression d’Aujourd’hui » présente, une sélection de ses œuvres sur papier.   
L’été 2015, sélectionnée pour la Biennale d’Art contemporain de Marcigny une dizaine de ses œuvres seront exposées,  l’année suivante ce sera pour la biennale d’Art Contemporain de Larmor Plage et, en 2017 au Salon des Beaux-Arts de Lorient. Elle participe à la Nuit Blanche dans le cadre des évènements proposés par la Mairie du XIIIème.

C'est en 2017 qu'elle commence à travailler sur les illustrations des postures d’un ancien yoga tibétain qu'elle pratique depuis plusieurs années, il y aura 3 manuels et plus de 500 dessins à réaliser.

L'été 2018, la Galerie Ker’Art de Concarneau présente ses tableaux pour son ouverture. 
Depuis cette même année, chaque 26 Mai, elle participe à la "fête de l'estampe" organisée par Manifestampe, une occasion pour ouvrir les portes de son atelier.
 
En 2019, Myung-Sun JU, qui suit son parcours depuis l’année de l’amitié France-Corée (2015), directrice de la Galerie L’IME ART à Paris, montre sa peinture pour l’exposition collective « Mémoire d’une couleur ». 
En mars 2020, une première exposition personnelle est programmée « Passages, éclats, bleus »  par la Galerie L'IME ART à Paris, elle sera annulée par les circonstances. 
 
Pendant les confinements, les deux premiers manuels de yoga seront édités,  les illustrations du troisième manuel se poursuivent. C'est aussi à ce moment qu'elle commencera à guider les pratiques de ce Yoga très ancien.

Elle redécouvre l’atmosphère du quartier Mouffetard qui l'inspire par son énergie de vie dans un Paris momentanément éteint. En Décembre 2021,  elle expose une nouvelle série d'aquarelles au « Verre à pied »
Elle poursuit cette dérive exploratoire de "la Mouffe" et présente ce travail de 2021 à 2023 à la Bibliothèque municipale Mohammed Arkoun. 
Des liens se sont tissés entre sa peinture figurative et sa peinture abstraite. Un point d'union s'est dévoilé, il se fait autour de ce qu'elle appelle "un passage du souffle" dans l'espace. 

Les dernières peintures réalisées à la caséine seront l'occasion d'une exposition le temps d'une association éphémère en Mai et Juin 2023, entre "la cuisine des pigments" et la cuisine généreuse de Marc, rue de l'Arbalète, toujours dans le 5ème.
L'utilisation de la caséine devient de plus en plus présente dans sa peinture.